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Maison hantée...
Affaire mystérieuse
Maison hantée en 1956 à Saint-Martin
d'Ollières.
Le journal « la Montagne » vous propose une histoire vraie
une affaire survenue à Saint-Martin-d'Ollières, (Auvergne )
« Vécue par deux habituelles camarades
de vacances ».
Geneviève n’a jamais oublié cet étrange été 1956
Dans le village de Saint-Martin-d’Ollières,
Elle n’avait pas dix ans.
Elle avait retrouvé sa copine Josie
Comme pour les vacances précédentes.
Mais ce mois de juillet- là, n’a ressemblé à aucun autre.
Des bruits très forts semblaient venir
de sous le lit des Fillettes
Puis résonnaient de la cave au grenier,
Parfois, ils étaient réguliers
et ressemblaient aux pas d’un homme marchant
avec des sabots.
D’autres fois, on aurait cru qu’on traînait des grosses valises
dans tous les sens, sur le plancher.
Toujours à la même heure, entre 22 heures et minuit
La presse de l'époque (ici Le Parisien Libéré)
s'était penchée sur l'énigme –
Photo Remi Dugne
A cette époque, les histoires de hantises
suscitaient une grande curiosité.
Avec ses persiennes rouillées, ses vitres sales,
ses herbes folles dans le jardin
Cette maison constituait un décor adéquat.
Les gendarmes avaient fouillé, enquêté,
sans succès.
Au bout de quelques jours,
Le journal « La Montagne »
Déplaça l’un des leurs
Afin de relever les faits
Ce qui amplifia les bruits de pas
qui accéléraient
comme si l’esprit s’approchait en courant
tous reculaient de quelques mètres, effrayés...
On parlait aussi d’autres bizarreries
soi-disant survenues dans les environs.
Même l’écrivain auvergnat « Henri Pourrat »
s’était rendu sur place
Il avait couché dans ses écrits plusieurs hypothèses :
Etait-ce un ventriloque venu d’un village proche
Ou ce vendeur de livres
Consacrés au surnaturel ?
Il rajouta, pour mieux vendre sa camelote
A moins que ce ne soit la grand-mère ?
Comme pour mieux l'accabler, on disait même
Qu'elle ressemblait à une sorcière...
De son côté, Geneviève déclara
« Je n’avais pas vraiment peur »
Même si je trouvais ça très bizarre
Peu à peu, c’est sa copine qui a monopolisé l’attention.
Quand les coups résonnaient,
on trouvait que Josie avait l’air absente
Seul son père
Revenu en urgence dans la maison de vacances
Semblait avoir de l’autorité sur ce fantôme
Quand il ordonnait « ça suffit ! »
Etrangement, les bruits cessaient.
Au village aujourd’hui, on parle
de la petite fille, comme d’un « medium ».
Celle par qui viennent les esprits.
A la fin de l’été 1956, elle est repartie
à Drancy, en région parisienne
où elle vivait le reste de l’année.
Un journal local d’époque « La liberté »
Affirmait que le vacarme avait continué
Même en son absence.
Longtemps, la maison n’a plus été louée.
Celui qui y habite à présent n’a
« jamais eu de problème »,
On l’a surnommé gentiment « le diable »,
Certes, il faut être un peu loufoque pour oser vivre ici.
C’est ce qui se dit dans certaines campagnes.
Mais, mieux vaut laisser frapper les esprits
Que chercher à les faire taire.
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Commentaires
J'aime bien ces histoires de fantôme,
notre père nous raconterais souvent ces histoires,
a nous faire peur parfois.
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Mercredi 16 Septembre 2020 à 19:34
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je suis sure qu"elle était braiment hantée cette maison..
Elle a réellement été retapée, mais bien plus tard
tout a semblé disparaître par la suite...
Mais il y a eu des faits et des témoignages...Alors ????????
Bisoussssssssssss et encore bravo...